Por UnoAmerica
La Unión de Organizaciones Democráticas de América, UnoAmérica, denuncia ante la opinión pública internacional que se está desarrollando un golpe a la Constitución en Nicaragua, idéntico al que intentó dar Zelaya en Honduras.
La Sala Constitucional de la Corte Suprema de Justicia (CSJ), controlada por los sandinistas, decidió declarar inaplicable el Artículo 147 de la Carta Magna que prohíbe la reelección presidencial, lo cual le permitiría a Daniel Ortega perpetuarse en el poder.
Se trata de una variante del mismo procedimiento usado por Hugo Chávez, Evo Morales y Rafael Correa para controlar los poderes públicos y establecer dictaduras vitalicias.
La iniciativa de la Sala Constitucional, promovida por Daniel Ortega, constituye una irresponsabilidad y una provocación, sobre todo considerando la crisis que vive Honduras. Con este golpe, Ortega está auspiciando un conflicto grave e innecesario, de proporciones incalculables.
Al igual que ocurrió con el caso de Zelaya, no se trata de una iniciativa propia, sino que proviene de Hugo Chávez, quien pretende exportar su modelo castro-comunista a toda la región, utilizando como palanca los petrodólares venezolanos y las amenazas de agresión armada.
No esperamos que la OEA se pronuncie al respecto, puesto que Chávez controla la mayoría de los votos dentro de esa organización multilateral; pero confiamos en que el pueblo nicaragüense, inspirado en el testimonio de sus vecinos hondureños impida que Chávez se apodere de su país, resistiendo con firmeza la pretensión expansionista del Socialismo del Siglo XXI.
Hacemos un llamado a la opinión pública internacional para que rechace el golpe a la Constitución que el sandinismo está perpetrando en Nicaragua.
UnoAmerica
La Unión de Organizaciones Democráticas de América, UnoAmérica, denuncia ante la opinión pública internacional que se está desarrollando un golpe a la Constitución en Nicaragua, idéntico al que intentó dar Zelaya en Honduras.
La Sala Constitucional de la Corte Suprema de Justicia (CSJ), controlada por los sandinistas, decidió declarar inaplicable el Artículo 147 de la Carta Magna que prohíbe la reelección presidencial, lo cual le permitiría a Daniel Ortega perpetuarse en el poder.
Se trata de una variante del mismo procedimiento usado por Hugo Chávez, Evo Morales y Rafael Correa para controlar los poderes públicos y establecer dictaduras vitalicias.
La iniciativa de la Sala Constitucional, promovida por Daniel Ortega, constituye una irresponsabilidad y una provocación, sobre todo considerando la crisis que vive Honduras. Con este golpe, Ortega está auspiciando un conflicto grave e innecesario, de proporciones incalculables.
Al igual que ocurrió con el caso de Zelaya, no se trata de una iniciativa propia, sino que proviene de Hugo Chávez, quien pretende exportar su modelo castro-comunista a toda la región, utilizando como palanca los petrodólares venezolanos y las amenazas de agresión armada.
No esperamos que la OEA se pronuncie al respecto, puesto que Chávez controla la mayoría de los votos dentro de esa organización multilateral; pero confiamos en que el pueblo nicaragüense, inspirado en el testimonio de sus vecinos hondureños impida que Chávez se apodere de su país, resistiendo con firmeza la pretensión expansionista del Socialismo del Siglo XXI.
Hacemos un llamado a la opinión pública internacional para que rechace el golpe a la Constitución que el sandinismo está perpetrando en Nicaragua.
UnoAmerica
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Français
UnoAmerica dénonce un coup d'état au Nicaragua
Par UnoAmerica
L'Union des Organisations démocratique d'Amérique, UnoAmérica, dénonce à l'opinion publique internationale qu'un coup d'état à la Constitution est en train de se mettre en place au Nicaragua, exactement la même que celui que Zelaya a intenté au Honduras.
La Chambre Constitutionnelle de la Cour Suprême de Justice (CSJ), contrôlée par les sandinistes, a décidé de déclarer inapplicable l'article 147 de la Constitution qui interdit la réélection présidentielle, laquelle permettrait à Daniel Ortega de rester indéfiniment au pouvoir.
Il s'agit d'une variante de la même procédure utilisée par Hugo Chávez, Evo Morales et Rafael Correa pour contrôler les pouvoirs publics et établir des dictatures vie.
L'initiative de la Chambre Constitutionnelle, promue par Daniel Ortega, est irresponsable et provocatrice, compte tenu notamment de la crise au Honduras. Avec ce coup d'état, Ortega parraine un conflit grave et inutile, aux proportions incalculables.
Comme cela s'est produit avec le cas de Zelaya, il ne s'agit pas d'une initiative propre, elle vient d'Hugo Chávez, qui a l'intention d'exporter son modèle castro- communiste dans toute la région, en utilisant comme levier les pétrodollars vénézuéliens et des menaces d'agression armée .
Nous ne prévoyons pas que l'OEA statue en la matière, car Chávez contrôle la majorité des votes au sein de l'organisation multilatérale, mais nous avons confiance que le peuple nicaraguayen, inspiré par le témoignage de ses voisins du Honduras empêche que Chávez s'approprie leur pays, et qu'il résistent fortement a la prétention expansionnistes du socialisme du XXI ème siècle .
Nous lançons un appel à l'opinion publique internationale pour qu'elle rejette le coup d'état à la Constitution que commet le sandinisme, au Nicaragua.
L'Union des Organisations démocratique d'Amérique, UnoAmérica, dénonce à l'opinion publique internationale qu'un coup d'état à la Constitution est en train de se mettre en place au Nicaragua, exactement la même que celui que Zelaya a intenté au Honduras.
La Chambre Constitutionnelle de la Cour Suprême de Justice (CSJ), contrôlée par les sandinistes, a décidé de déclarer inapplicable l'article 147 de la Constitution qui interdit la réélection présidentielle, laquelle permettrait à Daniel Ortega de rester indéfiniment au pouvoir.
Il s'agit d'une variante de la même procédure utilisée par Hugo Chávez, Evo Morales et Rafael Correa pour contrôler les pouvoirs publics et établir des dictatures vie.
L'initiative de la Chambre Constitutionnelle, promue par Daniel Ortega, est irresponsable et provocatrice, compte tenu notamment de la crise au Honduras. Avec ce coup d'état, Ortega parraine un conflit grave et inutile, aux proportions incalculables.
Comme cela s'est produit avec le cas de Zelaya, il ne s'agit pas d'une initiative propre, elle vient d'Hugo Chávez, qui a l'intention d'exporter son modèle castro- communiste dans toute la région, en utilisant comme levier les pétrodollars vénézuéliens et des menaces d'agression armée .
Nous ne prévoyons pas que l'OEA statue en la matière, car Chávez contrôle la majorité des votes au sein de l'organisation multilatérale, mais nous avons confiance que le peuple nicaraguayen, inspiré par le témoignage de ses voisins du Honduras empêche que Chávez s'approprie leur pays, et qu'il résistent fortement a la prétention expansionnistes du socialisme du XXI ème siècle .
Nous lançons un appel à l'opinion publique internationale pour qu'elle rejette le coup d'état à la Constitution que commet le sandinisme, au Nicaragua.
UnoAmerica
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