El Gobierno expropió Central Azucarero Venezuela

Castellano - Article en Français par Que Vive Vénézuela

El miércoles 21.10.2009, el gobierno nacional expropió y ocupó de manera temporal la planta de Central Azucarero Venezuela, ubicada en el estado Zulia. El ministro de Agricultura y Tierras, Elías Jaua, indicó que el camino es “la ocupación total”.

Escuche a Elias Jaua en su declaración siguiendo este enlace

Jaua, explicó que la expropiación es producto de que la Central Venezolana “cesó sus operaciones de manera ilegal, porque aún cuando introdujo un cierre temporal ante el Ministerio de Trabajo, no espero la respuesta y de manera ilegal, arbitraria e inhumana, echó a la calle a casi mil de trabajadores”.

Por tanto “el presidente de la República, Hugo Chávez fue notificado y de inmediato autorizó en ejercicio de sus competencias Constitucionales, de la Ley de Seguridad y Soberanía Alimentaria y de Acceso a los Bienes y Servicios la ocupación temporal y la expropiación del Central de Venezuela para convertirlo en una empresa de propiedad social del Estado”, sostuvo.

En tanto, el ministro de Alimentación, Félix Osorio, adelantó que “dentro de las medidas que toma el gobierno bolivariano, vamos no solamente a la ocupación temporal sino también prepararnos para la expropiación y recuperar lo que es la tierra y la caña para que este Central tome la vida que tiene que tener”.

Recalcó que con la expropiación de esta planta de azúcar se están haciendo “justicia”.

Advirtió que seguirán tomando las medidas necesarias, desde el Ejecutivo, para el control y el buen funcionamiento de las empresas nacionales.

Finalmente, el ministro, Eduardo Samán, indicó que “esta medida la estamos tomando apegados a la ley, la de defensa de personas en el acceso a los bienes y servicios, en su artículo 6 dice que un servicio público esencial es aquel que satisface las necesidades y el interés colectivo, define están instalaciones como un servicio público, y que no debe se paralizada”.

Acotó que “esta instalación fue paralizada arbitrariamente por sus dueños el día 9 de septiembre de este mismo año, y por lo tanto la ley nos da la facultad de aplicar una medida de ocupación y operatividad de esta planta”.

Además, informó que “esta central cuenta con unos generadores eléctricos que además le pueden surtir de energía eléctrica a este pueblo”.

Fuente : Union Radio

Opinión del Blog "Venezuela sans Chávez"

Lo primero que hicieron fue invadir las tierras para reducir considerablemente la producción y evitar impartir justicia. Luego regular el precio del azúcar para evitar ganancias. A su vez, esto redujo a cero los gastos de inversión y mantenimiento. Como etapa final contaminaron los sindicatos de "socialismo bolivariano", para comenzar una guerra contra los capitalistas dueños, de la empresa.

Al generar el cierre operativo, el gobierno luego aparece como un salvador de los trabajadores y de la producción de azúcar.

Pero como todo sabemos, esa empresa quedara en olvido, la ineficiencia y la corrupción, la llevaran a la quiebra y a un saqueo inimaginable.

Eso se llama "robar"y el que roba es un "delincuente".

Lo único que sabe hacer un delincuente es robar, y siente satisfacción por hacerlo, como producto del resentimiento y la envidia que tiene a las personas que trabajan y se esfuerzan.

Que vive Vénézuela

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Français
Le gouvernement a exproprié la Centrale Sucrière du Venezuela

Mercredi 21.10.2009 le gouvernement national a saisis et occupés temporairement l'usine « Centrale Sucrière du Venezuela », situé dans l'État de Zulia. Le Ministre de l'Agriculture et des Terres Elías Jaua a expliqué que la solution est «l’occupation totale de l’usine».

Jaua a expliqué que l'expropriation vient du fait que la centrale du vénézuélienne "a cessé ses activités illégalement, car lorsqu'elle est fait une demande de fermeture temporaire auprès du Ministère du Travail, elle n’a pas attendu la réponse, et de façon illégale, arbitraire et inhumain, a jeté dans la rue près d'un millier de travailleurs. "

Par conséquent, "le président de la République, Hugo Chávez a été immédiatement averti et investi de ses pouvoir constitutionnels a immédiatement autorisé, la « loi de sécurité et souveraineté alimentaire et d'accès aux biens et services », l’occupation temporaire et l'expropriation de la Centrale du Venezuela pour la convertir en une entreprise de l'État ", a déclaré Elías Jaua.

Entre-temps, le ministre de l'Alimentation Felix Osorio, a déclaré que "parmi les mesures prises par le gouvernement bolivarien, nous n’allons pas seulement vers l'occupation temporaire mais nous préparons à l’expropriation et récupérer la terre et la canne pour cette Centrale puisse avoir la vie qu’elle doit avoir".

Il a souligné que, l'expropriation de la fabrique de sucre est un acte de "justice".

Il a prévenu que de l'exécutif ils continueront de prendre les mesures nécessaires, pour le contrôle et le bon fonctionnement des entreprises nationales.

Enfin, le ministre, Eduardo Samán, a déclaré: "Nous prenons cette mesure dans le cadre le plus strict de la loi, de la défense des personnes pour l'accès aux biens et services. L’article 6 de le loi dit qu’un service public essentiel est celui qui répond aux besoins et à l'intérêt collectif. Cette loi classe donc ces installations comme un service public qui de doit pas être paralysé. "

Il a ajouté que "cette installation a été arbitrairement paralysée par ses propriétaires, le 9 Septembre de cette année, et donc la loi nous donne la possibilité d'appliquer une mesure d'occupation et d'exploitation de cette centrale".

Il a indiqué que "en plus, cette usine a des générateurs électriques qui peuvent fournir de l’électricité à cette ville."

Source : Union Radio

Opinion du Blog "Venezuela sans Chávez"

La première chose qu'ils ont faite, a été d'envahir les terres pour réduire considérablement la production et éviter de rendre la justice. Puis ils ont réglementé le prix du sucre pour éviter des bénéfices. Cela a réduit à zéro les investissements et l'entretient des installations. Dernière étape, ils ont contaminé les syndicats avec le "socialisme bolivarien", pour lancer une guerre contre les propriétaires capitaliste de l'entreprise.

En générant la fermeture de l'entreprise, le gouvernement apparaît alors comme un sauveur des travailleurs et de la production de sucre.

Mais comme nous le savons tous, cette entreprise restera dans l'oublie, l'inefficacité et la corruption, ils la conduiront à la faillite et à un pillage inimaginable.

C'est ce qu'on appelle "voler", et celui qui vole est un "délinquant".

La seule chose qu'un délinquant sache faire, c'est voler. Il a de la satisfaction à le faire. Cela est le produit du ressentiment et de la jalousie, qu'il a pour les gens qui travaillent et font des efforts.

Que Vive Vénézuela