Freno a Chávez
No es nada nuevo el carácter beligerante de Hugo Chávez en verbo y obra. Una muestra más es su ejército de paramilitares, disfrazados bajo el nombre de milicias bolivarianas, que su siempre generosa y complaciente Asamblea le regaló. Siempre insaciable de poder, Chávez no está contento en presidir un gobierno policíaco, sino que ahora pretende militarizar a los civiles y someterlos a su mando bajo una disciplina castrense y convertirlos en un instrumento más de su maquinaria dictatorial. ¿Este es el socialismo del siglo XXI? Militarizar al pueblo, convertirlo en una red de soplones contra la oposición, y quién sabe podría hasta juzgarlos como traidores a la patria si no cumplen sus órdenes. ¿Veremos pronto fusilamientos de milicianos que se rebelen a su comandante?
Desconfío de la efectividad de organismos como la OEA y de su secretario general Insulza, pero ya es tiempo de que la comunidad internacional que se dice defensora de la democracia ponga de una vez freno a Chávez. ¿O es que los petrodólares pesan más que la democracia hemisférica? Es cierto que son los pueblos los que deben delinear su destino, pero en un mundo hiperglobalizado como el actual la democracia no debe ser la excepción, ¿no creen? ¿Es legítimo que alguien que alcanzó el poder con el voto popular use ese mandato para hacer lo que le venga en gana?
José M. Andreu
No es nada nuevo el carácter beligerante de Hugo Chávez en verbo y obra. Una muestra más es su ejército de paramilitares, disfrazados bajo el nombre de milicias bolivarianas, que su siempre generosa y complaciente Asamblea le regaló. Siempre insaciable de poder, Chávez no está contento en presidir un gobierno policíaco, sino que ahora pretende militarizar a los civiles y someterlos a su mando bajo una disciplina castrense y convertirlos en un instrumento más de su maquinaria dictatorial. ¿Este es el socialismo del siglo XXI? Militarizar al pueblo, convertirlo en una red de soplones contra la oposición, y quién sabe podría hasta juzgarlos como traidores a la patria si no cumplen sus órdenes. ¿Veremos pronto fusilamientos de milicianos que se rebelen a su comandante?
Desconfío de la efectividad de organismos como la OEA y de su secretario general Insulza, pero ya es tiempo de que la comunidad internacional que se dice defensora de la democracia ponga de una vez freno a Chávez. ¿O es que los petrodólares pesan más que la democracia hemisférica? Es cierto que son los pueblos los que deben delinear su destino, pero en un mundo hiperglobalizado como el actual la democracia no debe ser la excepción, ¿no creen? ¿Es legítimo que alguien que alcanzó el poder con el voto popular use ese mandato para hacer lo que le venga en gana?
José M. Andreu
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Chávez prétend militariser les civils
Mettre un frein aux agissements de Chávez
Le caractère belliqueux de Hugo Chávez en paroles et en actes, n'a rien de nouveau. Un nouvel exemple est son armée de paramilitaires, déguisés sous le nom de milices bolivarienne, que sa toujours généreux et accommodants Assemblée lui a offerte. Toujours avide de pouvoir, Chávez n'est pas heureux de présider un gouvernement policier, il prétend maintenant militariser les civils et les placer sous sa discipline militaire et les convertir en un instrument de plus de sa machine dictatoriale. Est-ce le socialisme du XXIe siècle? Militariser le peuple, le convertir en un réseau d'informateurs contre l'opposition, et qui sait peut-être même les juger comme des traîtres à la patrie s'ils n'obéissent pas à ses ordres. Verrons-nous bientôt les exécutions des miliciens qui se rebellent contre leur commandant (Chávez)?
Je n'ai aucune confiance dans l'effectivité d'organisations comme l'OEA et son secrétaire général Insulza, mais il est temps que la communauté internationale qui prônent la démocratie mette une fois pour toute un frein aux agissements de Chávez. Les pétrodollars pèseraient-ils plus lourd que la démocratie hémisphérique? Il est vrai que ce sont les peuples qui doivent délimiter leur destin, mais dans un monde hyper globalisé comme il l'est à l'heure actuelle la démocratie ne doit pas être l'exception, vous ne pensez pas? Est-il légitime que quelqu'un qui est arrivé au pouvoir par un vote populaire utilise ce mandat pour faire ce qu'il veut?
José M. Andreu
Le caractère belliqueux de Hugo Chávez en paroles et en actes, n'a rien de nouveau. Un nouvel exemple est son armée de paramilitaires, déguisés sous le nom de milices bolivarienne, que sa toujours généreux et accommodants Assemblée lui a offerte. Toujours avide de pouvoir, Chávez n'est pas heureux de présider un gouvernement policier, il prétend maintenant militariser les civils et les placer sous sa discipline militaire et les convertir en un instrument de plus de sa machine dictatoriale. Est-ce le socialisme du XXIe siècle? Militariser le peuple, le convertir en un réseau d'informateurs contre l'opposition, et qui sait peut-être même les juger comme des traîtres à la patrie s'ils n'obéissent pas à ses ordres. Verrons-nous bientôt les exécutions des miliciens qui se rebellent contre leur commandant (Chávez)?
Je n'ai aucune confiance dans l'effectivité d'organisations comme l'OEA et son secrétaire général Insulza, mais il est temps que la communauté internationale qui prônent la démocratie mette une fois pour toute un frein aux agissements de Chávez. Les pétrodollars pèseraient-ils plus lourd que la démocratie hémisphérique? Il est vrai que ce sont les peuples qui doivent délimiter leur destin, mais dans un monde hyper globalisé comme il l'est à l'heure actuelle la démocratie ne doit pas être l'exception, vous ne pensez pas? Est-il légitime que quelqu'un qui est arrivé au pouvoir par un vote populaire utilise ce mandat pour faire ce qu'il veut?
José M. Andreu
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