El Senado español instó este miércoles al gobierno de José Luis Rodríguez Zapatero a interceder ante las autoridades venezolanas para que se respeten los derechos fundamentales de los opositores en los procesos penales que se llevan a cabo en ese país.
Se trata de una moción presentada por el grupo parlamentario del Partido Nacionalista Vasco (PNV), que ha sido aprobada con los votos de este partido, del conservador Partido Popular (PP) y de los nacionalistas catalanes de Convergencia i Unió (CIU).
El senador vasco Iñaki Anasagasti explicó que el objetivo de esta iniciativa es defender los derechos humanos allí donde son conculcados, como, en su opinión, se hace en países como Venezuela, con los que España mantiene una buena relación.
Así, recordó que en los procesos judiciales contra opositores políticos, líderes sociales, empresarios, profesionales, periodistas o estudiantes se produce una "clara quiebra" de los derechos de defensa de estas personas.
Esto se debe, según dijo, al "deterioro" del funcionamiento de las instituciones judiciales en Venezuela, donde "se utiliza la Justicia para perseguir a los opositores, cuyos más elementales derechos procesales son reiteradamente ignorados".
Anasagasti dijo que jueces y fiscales de ese país "reciben rutinariamente el encargo" de imputar cargos criminales contra objetivos políticos del Gobierno y que sus víctimas son difamadas en los medios de comunicación y detenidas arbitrariamente mientras se vulneran reiteradamente sus derechos.
Esta opinión la compartió el senador del opositor Partido Popular Dionisio García Carnero, quien subrayó que en Venezuela hay un verdadero régimen dictatorial, a pesar de que su presidente, Hugo Chávez, lo disfrace de democrático.
Sin embargo, el senador del gobernante Partido Socialista Obrero Español (PSOE) Arcadio Díaz Tejera dijo que hay que ser "respetuosos" con los procesos internos que se llevan a cabo en otros países y recalcó que "no es propio de la democracia sustituir la voluntad del pueblo".
Fuente : El Nacional
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Le Sénat espagnol demande a Zapatero d'intercéder pour que le Vénézuela respecte les Droits de chacun
Mercredi le Sénat espagnol a instamment prié le gouvernement José Luis Rodríguez Zapatero pour qu'il intercède auprès des autorités vénézuéliennes afin qu'il respecte les droits fondamentaux des opposants dans les procédures pénales qui sont menées dans ce pays.
Il s'agit d'une motion déposée par le groupe parlementaire du Parti Nationaliste Basque (PNV), qui a été approuvé avec les voix de ce parti, du Parti Populaire (PP, parti conservateur) et les nationalistes catalans Convergence et Union (CIU).
Le sénateur basque Iñaki Anasagasti a expliqué que le but de cette initiative est de défendre les Droits de l'Homme là où ils sont violés, comme à son avis, cela a été fait dans des pays comme le Venezuela, avec lesquels l'Espagne a une bonne relation.
Il a rappelé que dans les procédures judiciaires contre les opposants politiques, des dirigeants sociaux, des professionnels, des chefs d'entreprises, des journalistes, ou des étudiants se produisent une "faillite claire" des droits de la défense de ces personnes.
Cela est du, selon ce qu'il a expliqué à "la détérioration" du fonctionnement des institutions judiciaires au Venezuela, où "la justice est utilisée pour persécuter des opposants, dont les droits les plus élémentaires de procédure sont systématiquement ignorés".
Anasagasti dit que les juges et les procureurs dans ce pays "reçoivent systématiquement l'ordre" d'accusations criminelles contre des objectifs stratégiques du gouvernement et que leurs victimes sont vilipendés dans les médias et détenus arbitrairement alors que leurs droits sont violés à plusieurs reprises.
Cette opinion est partagée par le sénateur de l'opposition du Parti Populaire, Dionisio Garcia Carnero, qui a souligné que le Venezuela dispose d'une véritable dictature, bien que son président, Hugo Chávez, le déguise en démocratie.
Toutefois, le sénateur de la décision du Parti Socialiste Ouvrier Espagnol (PSOE) Arcadio Díaz Tejera, qui gouverne actuellement le pays, a déclaré qu'il faut être "respectueux" pour les processus internes qui ont lieu dans d'autres pays et a souligné "qu'il n'est pas démocratique de ne pas respecter la volonté du peuple ".
Fuente : El Nacional
Se trata de una moción presentada por el grupo parlamentario del Partido Nacionalista Vasco (PNV), que ha sido aprobada con los votos de este partido, del conservador Partido Popular (PP) y de los nacionalistas catalanes de Convergencia i Unió (CIU).
El senador vasco Iñaki Anasagasti explicó que el objetivo de esta iniciativa es defender los derechos humanos allí donde son conculcados, como, en su opinión, se hace en países como Venezuela, con los que España mantiene una buena relación.
Así, recordó que en los procesos judiciales contra opositores políticos, líderes sociales, empresarios, profesionales, periodistas o estudiantes se produce una "clara quiebra" de los derechos de defensa de estas personas.
Esto se debe, según dijo, al "deterioro" del funcionamiento de las instituciones judiciales en Venezuela, donde "se utiliza la Justicia para perseguir a los opositores, cuyos más elementales derechos procesales son reiteradamente ignorados".
Anasagasti dijo que jueces y fiscales de ese país "reciben rutinariamente el encargo" de imputar cargos criminales contra objetivos políticos del Gobierno y que sus víctimas son difamadas en los medios de comunicación y detenidas arbitrariamente mientras se vulneran reiteradamente sus derechos.
Esta opinión la compartió el senador del opositor Partido Popular Dionisio García Carnero, quien subrayó que en Venezuela hay un verdadero régimen dictatorial, a pesar de que su presidente, Hugo Chávez, lo disfrace de democrático.
Sin embargo, el senador del gobernante Partido Socialista Obrero Español (PSOE) Arcadio Díaz Tejera dijo que hay que ser "respetuosos" con los procesos internos que se llevan a cabo en otros países y recalcó que "no es propio de la democracia sustituir la voluntad del pueblo".
Fuente : El Nacional
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Le Sénat espagnol demande a Zapatero d'intercéder pour que le Vénézuela respecte les Droits de chacun
Mercredi le Sénat espagnol a instamment prié le gouvernement José Luis Rodríguez Zapatero pour qu'il intercède auprès des autorités vénézuéliennes afin qu'il respecte les droits fondamentaux des opposants dans les procédures pénales qui sont menées dans ce pays.
Il s'agit d'une motion déposée par le groupe parlementaire du Parti Nationaliste Basque (PNV), qui a été approuvé avec les voix de ce parti, du Parti Populaire (PP, parti conservateur) et les nationalistes catalans Convergence et Union (CIU).
Le sénateur basque Iñaki Anasagasti a expliqué que le but de cette initiative est de défendre les Droits de l'Homme là où ils sont violés, comme à son avis, cela a été fait dans des pays comme le Venezuela, avec lesquels l'Espagne a une bonne relation.
Il a rappelé que dans les procédures judiciaires contre les opposants politiques, des dirigeants sociaux, des professionnels, des chefs d'entreprises, des journalistes, ou des étudiants se produisent une "faillite claire" des droits de la défense de ces personnes.
Cela est du, selon ce qu'il a expliqué à "la détérioration" du fonctionnement des institutions judiciaires au Venezuela, où "la justice est utilisée pour persécuter des opposants, dont les droits les plus élémentaires de procédure sont systématiquement ignorés".
Anasagasti dit que les juges et les procureurs dans ce pays "reçoivent systématiquement l'ordre" d'accusations criminelles contre des objectifs stratégiques du gouvernement et que leurs victimes sont vilipendés dans les médias et détenus arbitrairement alors que leurs droits sont violés à plusieurs reprises.
Cette opinion est partagée par le sénateur de l'opposition du Parti Populaire, Dionisio Garcia Carnero, qui a souligné que le Venezuela dispose d'une véritable dictature, bien que son président, Hugo Chávez, le déguise en démocratie.
Toutefois, le sénateur de la décision du Parti Socialiste Ouvrier Espagnol (PSOE) Arcadio Díaz Tejera, qui gouverne actuellement le pays, a déclaré qu'il faut être "respectueux" pour les processus internes qui ont lieu dans d'autres pays et a souligné "qu'il n'est pas démocratique de ne pas respecter la volonté du peuple ".
Fuente : El Nacional
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