Por UnoAmerica
La Unión de Organizaciones Democráticas de América, UnoAmérica, denuncia que el golpe sandinista a la Constitución nicaragüense, fue orquestado en Cochabamba, Bolivia, durante la última cumbre de la Alianza Bolivariana para América Latina (ALBA).
La medida tomada por los magistrados sandinistas pertenecientes a la Sala Constitucional de la Corte Suprema -que permitiría a Daniel Ortega perpetuarse en el poder- no fue una decisión propia, sino que proviene del exterior.
La iniciativa contó con la autorización de Hugo Chávez y la aprobación de Evo Morales, Rafael Correa y la canciller de Zelaya, Patricia Rodas.
En la cumbre del ALBA también se acordó apoyar públicamente la medida de la Sala Constitucional, apenas fuese promulgada. Por eso el comunicado del ALBA en apoyo a la decisión se emitió casi simultáneamente.
La Unión de Organizaciones Democráticas de América increpa a la OEA por su posición tendenciosa y parcializada, puesto que condena al gobierno interino de Honduras por defender su Carta Magna, pero guarda silencio ante el golpe constitucional perpetrado por los sandinistas.
También critica a la OEA por no denunciar que la principal causa de conflictos en la región es la intervención flagrante de Chávez en los asuntos internos de otras naciones, al exportar su modelo de presidencia vitalicia, como ocurre en este momento en Nicaragua y como ocurrió hace cuatro meses en Honduras.
UnoAmerica
La Unión de Organizaciones Democráticas de América, UnoAmérica, denuncia que el golpe sandinista a la Constitución nicaragüense, fue orquestado en Cochabamba, Bolivia, durante la última cumbre de la Alianza Bolivariana para América Latina (ALBA).
La medida tomada por los magistrados sandinistas pertenecientes a la Sala Constitucional de la Corte Suprema -que permitiría a Daniel Ortega perpetuarse en el poder- no fue una decisión propia, sino que proviene del exterior.
La iniciativa contó con la autorización de Hugo Chávez y la aprobación de Evo Morales, Rafael Correa y la canciller de Zelaya, Patricia Rodas.
En la cumbre del ALBA también se acordó apoyar públicamente la medida de la Sala Constitucional, apenas fuese promulgada. Por eso el comunicado del ALBA en apoyo a la decisión se emitió casi simultáneamente.
La Unión de Organizaciones Democráticas de América increpa a la OEA por su posición tendenciosa y parcializada, puesto que condena al gobierno interino de Honduras por defender su Carta Magna, pero guarda silencio ante el golpe constitucional perpetrado por los sandinistas.
También critica a la OEA por no denunciar que la principal causa de conflictos en la región es la intervención flagrante de Chávez en los asuntos internos de otras naciones, al exportar su modelo de presidencia vitalicia, como ocurre en este momento en Nicaragua y como ocurrió hace cuatro meses en Honduras.
UnoAmerica
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Français
Le coup d'État sandiniste a été orchestré par l'ALBA
Par UnoAmerica
L'Union des Organisations Démocratique de l’Amérique, UnoAmérica, dénonce que le coup d’état sandiniste contre la Constitution nicaraguayenne en, a été orchestrée à Cochabamba, en Bolivie, au cours du dernier sommet de l'Alliance Bolivarienne pour l'Amérique latine (ALBA).
La mesure prise par les juges sandiniste appartenant à la Chambre constitutionnelle de la Cour Suprême, qui permettrait à Daniel Ortega de rester indéfiniment au pouvoir, n'était pas un choix de la Cour, mais vient de l'extérieur.
L'initiative a été autorisée par Hugo Chávez et l'approbation d'Evo Morales, Rafael Correa et de l’ex-ministre de affaires étrangères de Zelaya, Patricia Rodas.
Au sommet de l'ALBA il a également été décidé de soutenir publiquement la mesure de la Chambre Constitutionnelle, alors qu’elle venait d’être promulgué. C’est pour cela que la déclaration de l'ALBA appuyant cette décision a été publiée presque simultanément.
L'Union des Organisations Démocratique d’Amérique réprimande sévèrement l'OEA pour sa position tendancieuse et partialisée, car elle condamne le gouvernement intérimaire du Honduras pour défendre sa Constitution, mais se tait devant le Coup d'État Constitutionnel perpétré par les sandinistes.
UnoAmerica critique également L'OEA pour ne pas avoir dénoncé que la principale cause de conflits dans la région, est une ingérence flagrante de Chávez dans les affaires intérieures d’autres nations, en exportant son modèle de présidence à vie, comme en ce moment au Nicaragua, et comme cela est arrivé il y a quatre mois au Honduras.
UnoAmerica
L'Union des Organisations Démocratique de l’Amérique, UnoAmérica, dénonce que le coup d’état sandiniste contre la Constitution nicaraguayenne en, a été orchestrée à Cochabamba, en Bolivie, au cours du dernier sommet de l'Alliance Bolivarienne pour l'Amérique latine (ALBA).
La mesure prise par les juges sandiniste appartenant à la Chambre constitutionnelle de la Cour Suprême, qui permettrait à Daniel Ortega de rester indéfiniment au pouvoir, n'était pas un choix de la Cour, mais vient de l'extérieur.
L'initiative a été autorisée par Hugo Chávez et l'approbation d'Evo Morales, Rafael Correa et de l’ex-ministre de affaires étrangères de Zelaya, Patricia Rodas.
Au sommet de l'ALBA il a également été décidé de soutenir publiquement la mesure de la Chambre Constitutionnelle, alors qu’elle venait d’être promulgué. C’est pour cela que la déclaration de l'ALBA appuyant cette décision a été publiée presque simultanément.
L'Union des Organisations Démocratique d’Amérique réprimande sévèrement l'OEA pour sa position tendancieuse et partialisée, car elle condamne le gouvernement intérimaire du Honduras pour défendre sa Constitution, mais se tait devant le Coup d'État Constitutionnel perpétré par les sandinistes.
UnoAmerica critique également L'OEA pour ne pas avoir dénoncé que la principale cause de conflits dans la région, est une ingérence flagrante de Chávez dans les affaires intérieures d’autres nations, en exportant son modèle de présidence à vie, comme en ce moment au Nicaragua, et comme cela est arrivé il y a quatre mois au Honduras.
UnoAmerica
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