"Desgraciado, te lo voy a decir, desgraciado, como desgraciado es su presidente. Y han desgraciado a Colombia. ¡Viva Colombia! Yo me siento colombiano. Y se los digo yo me siento más colombiano que Uribe".
Con estas palabras el presidente de la República, Hugo Chávez, se refirió al canciller de Colombia, Jaime Bermúdez y al presidente, Álvaro Uribe, en respuesta a los señalamientos sobre la Unión de Naciones Suramericanas y su papel en la crisis, hechos desde Bogotá.
Según Chávez es "el colmo del cinismo" los comentarios de Bermúdez.
Durante una reunión preparatoria extraordinaria del I Congreso del Partido Socialista Unido de Venezuela, en el Teatro Municipal de Caracas, anunció además que está evaluando tomar acciones ante la injerencia en el espacio aéreo venezolano de aviones no identificados, posiblemente vinculados con el narcotráfico.
"Es deber del Gobierno tomar medidas, así como lo hace Brasil respecto a las aeronaves que no se identifiquen durante el tránsito en su territorio", destacó Chávez.
Reiteró que dichos aviones no identificados "claramente provienen de Colombia" y, así como los grupos armados son una amenaza constante. "Son factores que nos hacen daño. Por ello, hemos mantenido nuestra posición coherente y persistente de accionar la paz a pesar de que Colombia y Estados Unidos persistan en sus siete bases militares", sostuvo el mandatario.
Con estas palabras el presidente de la República, Hugo Chávez, se refirió al canciller de Colombia, Jaime Bermúdez y al presidente, Álvaro Uribe, en respuesta a los señalamientos sobre la Unión de Naciones Suramericanas y su papel en la crisis, hechos desde Bogotá.
Según Chávez es "el colmo del cinismo" los comentarios de Bermúdez.
Durante una reunión preparatoria extraordinaria del I Congreso del Partido Socialista Unido de Venezuela, en el Teatro Municipal de Caracas, anunció además que está evaluando tomar acciones ante la injerencia en el espacio aéreo venezolano de aviones no identificados, posiblemente vinculados con el narcotráfico.
"Es deber del Gobierno tomar medidas, así como lo hace Brasil respecto a las aeronaves que no se identifiquen durante el tránsito en su territorio", destacó Chávez.
Reiteró que dichos aviones no identificados "claramente provienen de Colombia" y, así como los grupos armados son una amenaza constante. "Son factores que nos hacen daño. Por ello, hemos mantenido nuestra posición coherente y persistente de accionar la paz a pesar de que Colombia y Estados Unidos persistan en sus siete bases militares", sostuvo el mandatario.
Fuente : El Universal
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De nouveaux éléments de polémique : “Uribe est un pauvre malheureux et a rendu la Colombie malheureuse”, a dit Chávez
"Pauvre malheureux, je vais te le dire, pauvre malheureux, tout comme son président est un pauvre malheureux . Et ils ont rendu la Colombie malheureuse. Vive la Colombie ! Je me sens Colombien. Et je vous le dis que je me sens plus colombien qu'Uribe".
Par ces mots le président de la République, Hugo Chávez, s'est référé au ministres des Affaires Etrangères de Colombie, Jaime Bermúdez et au président, Álvaro Uribe, en réponse aux assignations sur l'Union de Nations Sud-américaines et son rôle dans la crise, faits depuis Bogotá.
Selon Chávez les commentaires de Bermúdez sont "le comble du cynisme".
Pendant une réunion préparatoire extraordinaire du I Congrès du Parti Socialiste Uni du Venezuela, qui se tenait dans le Théâtre Municipal de Caracas, il a annoncé qu'il est en train de réfléchir s'il doit prendre des mesures devant l'intrusion dans l'espace aérien vénézuélien d'avions non identifiés, possiblement liés avec le trafic de stupéfiants.
"Il est de devoir du Gouvernement de prendre des mesures, tout comme le fait le Brésil t au sujet des avions qui ne sont pas identifiées pendant leur transit sur son territoire", a souligné Chávez.
Il a réitéré que ces avions non identifiés "proviennent clairement de Colombie" et, c'est pour cela que les groupes armés sont une menace constante. "Ce sont des facteurs qui nous font du mal. c'est pour cela que nous avons maintenu notre position cohérente et persistante de favoriser la paix bien que la Colombie et les États-Unis persistent dans leurs sept bases militaires", a soutenu le mandataire.
Par ces mots le président de la République, Hugo Chávez, s'est référé au ministres des Affaires Etrangères de Colombie, Jaime Bermúdez et au président, Álvaro Uribe, en réponse aux assignations sur l'Union de Nations Sud-américaines et son rôle dans la crise, faits depuis Bogotá.
Selon Chávez les commentaires de Bermúdez sont "le comble du cynisme".
Pendant une réunion préparatoire extraordinaire du I Congrès du Parti Socialiste Uni du Venezuela, qui se tenait dans le Théâtre Municipal de Caracas, il a annoncé qu'il est en train de réfléchir s'il doit prendre des mesures devant l'intrusion dans l'espace aérien vénézuélien d'avions non identifiés, possiblement liés avec le trafic de stupéfiants.
"Il est de devoir du Gouvernement de prendre des mesures, tout comme le fait le Brésil t au sujet des avions qui ne sont pas identifiées pendant leur transit sur son territoire", a souligné Chávez.
Il a réitéré que ces avions non identifiés "proviennent clairement de Colombie" et, c'est pour cela que les groupes armés sont une menace constante. "Ce sont des facteurs qui nous font du mal. c'est pour cela que nous avons maintenu notre position cohérente et persistante de favoriser la paix bien que la Colombie et les États-Unis persistent dans leurs sept bases militaires", a soutenu le mandataire.
Source : El Universal
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