La Guardia Nacional tomó ayer a las 5.30 de la mañana la Agropecuaria La Milagrosa, propiedad de Manuel Rosales, ex gobernador del estado Zulia y ex alcalde del municipio Maracaibo.
El predio del dirigente político de oposición, exiliado en Perú desde el pasado mes de abril, está ubicado en el sector El Guaimaro, parroquia El Moralito del municipio Colón.
La toma de la finca por parte de los funcionarios militares fue ordenada por el Instituto Nacional de Tierras (Inti) argumentando el cumplimiento de "un acto administrativo".
Rafael Camejo, abogado de la familia Rosales, comentó que hasta ahora la medida que emprendió el organismo público corresponde a una ocupación y no a una expropiación.
“La expropiación es cuando existe un decreto de utilidad pública y hay que pagar a los propietarios. Ellos buscan otra vuelta para apoderarse del fundo de forma arbitraria y para no pagar los bienes a los afectados, en este caso, a Manuel Rosales”.
"Control y ocupación"
"A partir de este momento el Ejército y el Inti toman el control y ocupación de estas tierras (...) ya todos saben las condiciones en que se encuentra el ex dueño de esto", dijo Juan Carlos Loyo, presidente del organismo, según comentaron trabajadores del predio.
Empleados indicaron que un grupo de 30 funcionarios militares prohibieron el paso a la hacienda. "Aquí no entra ni sale ningún civil, aquí nadie tiene un perrito ni un pajarito, ni nada”, fueron las palabras de los efectivos.
Los obreros manifestaron a este rotativo que durante el procedimiento el funcionario del Inti le aseguró al personal que sus pagos estaban garantizados; ordenó que recogieran sus pertenencias y obligó a entregar las llaves de la casa ubicada en dichas tierras.
Loyo afirmó que la familia de Manuel Rosales Guerrero estaba al tanto del procedimiento. “Ellos sabían que íbamos a ocupar las tierras, yo hablé con una de sus hermanas, ellos tenían que tener listo el inventario de los animales y de lo que aquí existe".
El representante del Inti comentó que hoy el presidente de la República, Hugo Chávez, anunciará la medida de ocupación en su programa dominical. En su alocución el mandatario informará el futuro de la propiedad. No descartó una expropiación.
El predio del dirigente político de oposición, exiliado en Perú desde el pasado mes de abril, está ubicado en el sector El Guaimaro, parroquia El Moralito del municipio Colón.
La toma de la finca por parte de los funcionarios militares fue ordenada por el Instituto Nacional de Tierras (Inti) argumentando el cumplimiento de "un acto administrativo".
Rafael Camejo, abogado de la familia Rosales, comentó que hasta ahora la medida que emprendió el organismo público corresponde a una ocupación y no a una expropiación.
“La expropiación es cuando existe un decreto de utilidad pública y hay que pagar a los propietarios. Ellos buscan otra vuelta para apoderarse del fundo de forma arbitraria y para no pagar los bienes a los afectados, en este caso, a Manuel Rosales”.
"Control y ocupación"
"A partir de este momento el Ejército y el Inti toman el control y ocupación de estas tierras (...) ya todos saben las condiciones en que se encuentra el ex dueño de esto", dijo Juan Carlos Loyo, presidente del organismo, según comentaron trabajadores del predio.
Empleados indicaron que un grupo de 30 funcionarios militares prohibieron el paso a la hacienda. "Aquí no entra ni sale ningún civil, aquí nadie tiene un perrito ni un pajarito, ni nada”, fueron las palabras de los efectivos.
Los obreros manifestaron a este rotativo que durante el procedimiento el funcionario del Inti le aseguró al personal que sus pagos estaban garantizados; ordenó que recogieran sus pertenencias y obligó a entregar las llaves de la casa ubicada en dichas tierras.
Loyo afirmó que la familia de Manuel Rosales Guerrero estaba al tanto del procedimiento. “Ellos sabían que íbamos a ocupar las tierras, yo hablé con una de sus hermanas, ellos tenían que tener listo el inventario de los animales y de lo que aquí existe".
El representante del Inti comentó que hoy el presidente de la República, Hugo Chávez, anunciará la medida de ocupación en su programa dominical. En su alocución el mandatario informará el futuro de la propiedad. No descartó una expropiación.
Fuente : La Verdad
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L'Inti occupe les terres de l'ex-gouverneur Manuel Rosales
La Garde nationale, a pris hier à 5.30 du matin la propriété agricole, La Miraculeuse, propriété de Manuel Rosales, ex-gouverneur de l'état Zulia et ex-maire de la municipalité le Maracaibo.
La propriété du dirigeant politique d'opposition, exilée au Pérou depuis avril dernier, se trouve dans le secteur Le Guaimaro, paroisse Le Moralito, de la municipalité Colón.
La prise de la propriété par les fonctionnaires militaires a été ordonnée par l'Institut National de la Terre (Inti), argumentant l'exécution "d'un acte administratif".
Rafael Camejo, avocat de la famille Rosales, a expliqué que pour l'instant la mesure qu'a entrepris l'organisme public, correspond à une occupation et non à une expropriation.
“L'expropriation se fait lorsque qu'il existe un décret d'utilité publique et dans ce cas là, il faut dédommager les propriétaires. Ils cherchent une excuse pour s'emparer de la propriété de forme arbitraire et pour ne pas payer les biens aux affectés, dans ce cas précis, à Manuel Rosales”.
"Contrôle et occupation"
"À partir de ce moment l'Armée et l'Inti prennent le contrôle et occupation de ces terres (...), nous savons tous dans quelles conditions se trouve l'ex-propriétaire de ce bien", a dit Juan Carlos Loyo, président de l'organisme, comme l'ont commenté des travailleurs de la propriété.
Des employés ont indiqué qu'un groupe de 30 fonctionnaires militaires ont interdit le passage à la ferme. "Ici il n'entre et ne sort aucun civil, ici il n'y a personne qui soit maitre d'un petit chien, d'un petit oiseau, ni rien”. Ce furent les mots des effectifs militaires.
Les ouvriers ont déclaré à ce journal, que lors de la procédure d'occupation, le fonctionnaire de l'Inti a assuré au personnel que leurs salaires étaient garantis; il a ordonné que les biens de Manuel Rosales soient récupérés et, il a obligé à ce qu'on lui remette les clefs de la maison placée dans lesdites terres.
Loyo a expliqué que la famille de Manuel Rosales Guerrero était au courant de la procédure. “Ils savaient que nous allions occuper les terres, j'ai parlé à l'une de ses sœurs, ils devaient tenir prêt l'inventaire des animaux et de ce qu'il y a ici".
Le représentant de l'Inti a commenté qu'aujourd'hui, le président de la République, Hugo Chávez, annoncera la mesure d'occupation dans son programme dominical. Dans son allocution le mandataire informera de l'avenir de la propriété. Il n'a pas écarté la possibilité d'une expropriation.
La propriété du dirigeant politique d'opposition, exilée au Pérou depuis avril dernier, se trouve dans le secteur Le Guaimaro, paroisse Le Moralito, de la municipalité Colón.
La prise de la propriété par les fonctionnaires militaires a été ordonnée par l'Institut National de la Terre (Inti), argumentant l'exécution "d'un acte administratif".
Rafael Camejo, avocat de la famille Rosales, a expliqué que pour l'instant la mesure qu'a entrepris l'organisme public, correspond à une occupation et non à une expropriation.
“L'expropriation se fait lorsque qu'il existe un décret d'utilité publique et dans ce cas là, il faut dédommager les propriétaires. Ils cherchent une excuse pour s'emparer de la propriété de forme arbitraire et pour ne pas payer les biens aux affectés, dans ce cas précis, à Manuel Rosales”.
"Contrôle et occupation"
"À partir de ce moment l'Armée et l'Inti prennent le contrôle et occupation de ces terres (...), nous savons tous dans quelles conditions se trouve l'ex-propriétaire de ce bien", a dit Juan Carlos Loyo, président de l'organisme, comme l'ont commenté des travailleurs de la propriété.
Des employés ont indiqué qu'un groupe de 30 fonctionnaires militaires ont interdit le passage à la ferme. "Ici il n'entre et ne sort aucun civil, ici il n'y a personne qui soit maitre d'un petit chien, d'un petit oiseau, ni rien”. Ce furent les mots des effectifs militaires.
Les ouvriers ont déclaré à ce journal, que lors de la procédure d'occupation, le fonctionnaire de l'Inti a assuré au personnel que leurs salaires étaient garantis; il a ordonné que les biens de Manuel Rosales soient récupérés et, il a obligé à ce qu'on lui remette les clefs de la maison placée dans lesdites terres.
Loyo a expliqué que la famille de Manuel Rosales Guerrero était au courant de la procédure. “Ils savaient que nous allions occuper les terres, j'ai parlé à l'une de ses sœurs, ils devaient tenir prêt l'inventaire des animaux et de ce qu'il y a ici".
Le représentant de l'Inti a commenté qu'aujourd'hui, le président de la République, Hugo Chávez, annoncera la mesure d'occupation dans son programme dominical. Dans son allocution le mandataire informera de l'avenir de la propriété. Il n'a pas écarté la possibilité d'une expropriation.
Source : La Verdad
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