vendredi 18 septembre 2009

[Fotos - Photos] Tragedia en Clarines - Estado Anzoátegui

Castellano - Article en Français par Que Vive Vénézuela

Actualizado Sábado 19 de septiembre

Este sábado ascendieron a 11 las víctimas mortales en el estado Anzoátegui luego del accidente de tránsito que provocó la dispersión de gas cloro en la localidad de Clarines. Seguir este enlace

Actualizado : Emergencia en Clarines : seguir el enlace

Trataban de inhalar fuerte, pero era imposible. No podían respirar. Se ahogaban y mientras más les faltaba el aire, más crecían la desesperación y el miedo a morir asfixiados. Ese fue el síntoma común que se repitió en aquellos que resultaron afectados por el derrame de gas cloro, ocurrido en el sector Minifinca, de la carretera Clarines-El Hatillo, estado Anzoátegui, el miércoles 16.09 a las 8:26 de la noche, luego de que la gandola que trasladaba 17 cilindros se volcara.
Así lo reporta El Universal en su artículo "La muerte llegó como una nube naranja"

El choque se produjo entre dos transportes

El primer transporte tenia una carga de 17 cilindros con 500 kilogramos de gas cloro, cada uno. El segundo vehículo tenia una carga de láminas de acero de dos pulgadas de espesor.

En el choque las láminas de acero trazaron las cadenas de los cilindros con gas cloro, y perforaron a dos de los de ellos. El chofer conociendo la situación, continuó conduciendo hasta un sitio descampado para poder ocultar un poco la toxicidad del químico. El chofer perdió el control de la carga y cayeron dos cilindros rotos, en la orilla de la carretera.

A los 40 pasajeros de un expreso que iban detrás, les tocó sufrir la descarga del gas tóxico al pasar por el sitio del choque. Una unidad cargada con 45 pasajeros fueron atendidos en Valle de la Pascua. Se conoció que se sentían mal, con malestar y síntomas de intoxicación, pero están fuera de peligro.

Inmediatamente al destruirse las válvulas de control de los cilindros que cayeron en la carretera, el gas cloro, un complemento inmensamente tóxico, comenzó a expandirse por la zona.

La comunidad de Paso Real fue la primera en huir del olor de cloro que se dispersó por las zonas aledañas. Muchos de los pobladores de este caserío atravesaron el Río Unare en lanchas y botes pequeños para llegar a Clarines y refugiarse del intenso y peligroso olor. A las 9:30 pm ya estaba evacuado ese caserío.

Los sectores de Barrio Obrero, La Loma y La Plaza fueron evacuados y el llamado de la radio del pueblo, Colonial 90.9 fm, era el de refugiarse en otras casas en urbanizaciones más lejanas al sitio del suceso. Muchos pobladores se fueron a las localidades de Píritu y Puerto Píritu, como parte del miedo que vivía el pueblo en esas horas.

Desde minutos después del acontecimiento tóxico, el hospital tipo uno de Clarines, Doctor Antonio Rondón Lugo, colapsó, puesto que había un solo médico de guardia y el personal de enfermería y emergencia era demasiado escaso para enfrentar el siniestro.

Apoyo logístico, voluntarios y médicos llegaron desde Valle de Guanape, Guanape y zonas cercanas. Muchos choferes y pasajeros quedaron atrapados en la cola que se creó luego de la coalición. Las distintas alcaldías de la zona Oeste de Anzoátegui apoyaron con oxígeno y ambulancias.

A las dos de la madrugada la situación aún era muy tensa. Llegaba gente de todas partes del pueblo con asfixias, dificultades respiratorias, tos e intoxicación. El equipo de Protección Civil no pudo apagar un último cilindro que emanaba gas, sino hasta las dos de la tarde del jueves.

Al amanecer se conoció que la cifra de muertes era de ocho personas.

Fuente : Angel Arellano

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Diario - Journal : El Norte




















Fotos - Photos




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Français
Tragédie dans la ville de Clarines - État d'Anzoátegui

Actualisé Samedi 19 septembre

Le nombre des victimes est aujourd'hui passé à 11 personnes. Lire en utilisant traducteur de Google

Ils essayaient de respirer fort, mais c'était impossible. Ils ne pouvaient pas respirer. Ils s'étouffaient et plus ils manquaient d'air plus montaient en eux la peur de mourir de suffocation. Ce fut le symptôme le plus fréquent qui s'est répétée chez les personnes touchées par la fuite de gaz de chlore s'étant produit dans le secteur de Minifinca, Clarines autoroute A-El Hatillo, État d'Anzoátegui, mercredi 16.09 à 20:26, après que le camion qui convoyait 17 cylindres de chlore, se soit renversé sur la chaussée.

La collision s'est produite entre deux camions

Le premier convoi avait une charge de 17 cylindres avec 500 kg de chlore gazeux chacun. La deuxième convoi avait une charge de tôles d'acier de deux pouces d'épaisseur.

Dans le choc les plaques d'acier ont coupe les chaînes des bouteilles de gaz de chlore et percé deux d'entre elles. Le conducteur conscient la situation, a conduit le camion jusqu'à une zone sans maison dans le but de diminuer la toxicité chimique. Le conducteur a perdu le contrôle de la charge et deux bouteilles se sont ouverte en tombant tombées sur la route.

Les 40 passagers d'un bus qui suivait le camion ont inhalé le gaz toxiques. Les 45 passagers qui étaient dans un 2ème bus ont été traités à Valle de la Pascua.
Toutes ces personnes se sentaient mal, avaient des malaises et des symptômes d'empoisonnement, mais ils sont maintenant hors de danger.

Les vannes des bouteilles de chlore se sont rompues en tombant sur la route et le chlore gazeux extrêmement toxiques, a commencé à se rependre dans la région.

Les habitants de Paso Real ont été le premier à s'en aller des qu'ils ont senti l'odeur de chlore qui se rependait dans les zones environnantes. De nombreux habitants du hameau de Unare ont traversé la rivière en canot et en petits bateaux pour atteindre la ville de Clarines pour se mettre à l'abri de l'odeur intense au effets dangereux. À 9:30 heures, ce village a été évacué.

Les secteurs de Barrio Obrero, La Loma et La Plaza ont été évacués. La radio locale du village, Colonial 90.9 FM, a appelé les habitants a chercher refuge dans des maisons et quartiers plus éloignés de la zone du sinistre. Beaucoup de résidents sont partis vers les villages de Puerto Píritu et de Píritu car ils ont vécus des heures de crainte et d'angoisse.

Quelques minutes après le désastre toxiques, l'hôpital 1 Dr Antonio Rondón Lugode de Clarines était dépassé par les évènements, car il n'y avait qu'un seul médecin de garde le personnel infirmier, celui des urgences et ce n'était bien entendu pas suffisant pour faire face au nombre de victimes.

Le soutien logistique a été organisé par des bénévoles et des médecins qui venaient de Guanape Valley, Guanape et des environs. De nombreux chauffeurs de camions, de bus et des passagers ont été bloqués dans l'embouteillage qui s'est formé après la coalition. Les différentes municipalités de la région ouest de Anzoategui ont été ces personnes en envoyant de l'oxygène et des ambulances.

A deux heures du matin, la situation était toujours très tendue. Les gens venaient de toute la ville avec des symptômes; d'étouffement, difficultés respiratoires, toux et d'intoxication. L'équipe de la protection civile ne pu désactiver le gaz qui émanait de la dernière bouteille, qu'à deux heures de l'après-midi du lendemain jeudi 17.09.

A l'aube, on a appris que le nombre de morts était de huit personnes.

Source : Angel Arellano

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