Estiman que la lucha ciudadana debe abarcar a todos los sectores
Barquisimeto.- Como un total éxito, calificó el dirigente de Causa R Alfredo Ramos, a la "Gran marcha por los derechos del pueblo", convocada ayer en Barquisimeto.
"El pueblo respondió y salió a las calles para levantar nuevamente su voz disidente, frente a las arbitrariedades de un régimen que no cesa en sus acciones en contra de la propiedad y los derechos humanos", dijo el dirigente.
A la marcha asistieron dirigentes gremiales, trabajadores del sector público y privado, partidos políticos, además de representantes del movimiento estudiantil y la ciudadanía en general, para decir "No a la penalización del derecho constitucional de expresar opiniones divergentes", según explicó Jesús Montilla, estudiante de la Universidad Nacional Experimental Politécnica.
"Tenemos en nuestra responsabilidad el futuro de nuestro país, no podemos aceptar que se siga censurado y amedrentando a los estudiantes, por exigir recursos para una educación digna; cada vez que salen a la calle a defender la democracia y la libertad, se les tilda de golpistas". Expuso enérgicamente María Inés Suárez, quien se describió como una ciudadana en lucha por la liberación de Venezuela.
"No mas Chávez, si a la libertad", era la consigna de los manifestantes a lo largo del recorrido, mientras las cornetas los chóferes, estimulaban la protesta pacífica, toda vez que los funcionarios de Poli-Lara garantizaron la seguridad durante la marcha que inició en la Casa del Maestro y culminó en la Plaza Macario Yépez frente a la Universidad Centroccidental Lisandro Alvarado.
El gremio periodístico también estuvo presente y expresó que "la nación reclama una mejor actuación del Gobierno nacional".
Barquisimeto.- Como un total éxito, calificó el dirigente de Causa R Alfredo Ramos, a la "Gran marcha por los derechos del pueblo", convocada ayer en Barquisimeto.
"El pueblo respondió y salió a las calles para levantar nuevamente su voz disidente, frente a las arbitrariedades de un régimen que no cesa en sus acciones en contra de la propiedad y los derechos humanos", dijo el dirigente.
A la marcha asistieron dirigentes gremiales, trabajadores del sector público y privado, partidos políticos, además de representantes del movimiento estudiantil y la ciudadanía en general, para decir "No a la penalización del derecho constitucional de expresar opiniones divergentes", según explicó Jesús Montilla, estudiante de la Universidad Nacional Experimental Politécnica.
"Tenemos en nuestra responsabilidad el futuro de nuestro país, no podemos aceptar que se siga censurado y amedrentando a los estudiantes, por exigir recursos para una educación digna; cada vez que salen a la calle a defender la democracia y la libertad, se les tilda de golpistas". Expuso enérgicamente María Inés Suárez, quien se describió como una ciudadana en lucha por la liberación de Venezuela.
"No mas Chávez, si a la libertad", era la consigna de los manifestantes a lo largo del recorrido, mientras las cornetas los chóferes, estimulaban la protesta pacífica, toda vez que los funcionarios de Poli-Lara garantizaron la seguridad durante la marcha que inició en la Casa del Maestro y culminó en la Plaza Macario Yépez frente a la Universidad Centroccidental Lisandro Alvarado.
El gremio periodístico también estuvo presente y expresó que "la nación reclama una mejor actuación del Gobierno nacional".
Fuente : El Universal
0-0-0-0-0-0-0-0
Français
Marche pour les droits du peuple dans l'État de Lara
La lutte citoyenne doit réunir tout le secteur public
Barquisimeto .- "Ce fut un énorme et total succès", a déclaré le leader Alfredo Ramos, en parlant de la "Grande marche pour les droits du peuple", convoqué hier à Barquisimeto.
"Le peuple a répondu et est descendus dans la rue pour faire entendre une fois de plus la voix de la dissidence, contre les actions arbitraires d'un régime qui ne freine d'aucune manière ses actions contre la propriété privée et les droits de l'homme", a déclaré le dirigeant.
Les dirigeants syndicaux, les travailleurs des secteurs public et privé, les partis politiques, des représentants du mouvement des étudiants et du grand public ont assisté à cette marche, pour dire "Non à la criminalisation du droit constitutionnel d'exprimer des opinions divergentes", a expliqué Jesus Montilla, étudiant à l'Universidad Politecnica Nacional Experimental.
"L'avenir de notre pays est de notre responsabilité, nous ne pouvons pas accepter que l'on continue à censurer et intimider les étudiants, parce qu'ils exigent des ressources pour une éducation décente. Chaque fois qu'ils descendent dans la rue pour défendre la démocratie et la liberté, sont désignés comme étant des 'golpistes' " a fortement exposés Maria Ines Suarez, qui se décrit comme une citoyenne en lutte pour la libération du Venezuela.
"Plus de Chávez, oui à la liberté" était le slogan des manifestants tout au long de la marche, tandis que les trompettes, encourageaient la manifestation pacifique, chaque fois que les fonctionnaires de Poli-Lara ont assuré la sécurité pendant le marche ayant commencé à la "Casa del Maestro" et ayant abouti à la Plaza Macario Yepez face à l'université "Centroccidental Lisandro Alvarado".
Le syndicat des journalistes était présent et a déclaré que "la nation appelle à une meilleure conduite du Gouvernement National".
Source : El Universal
Barquisimeto .- "Ce fut un énorme et total succès", a déclaré le leader Alfredo Ramos, en parlant de la "Grande marche pour les droits du peuple", convoqué hier à Barquisimeto.
"Le peuple a répondu et est descendus dans la rue pour faire entendre une fois de plus la voix de la dissidence, contre les actions arbitraires d'un régime qui ne freine d'aucune manière ses actions contre la propriété privée et les droits de l'homme", a déclaré le dirigeant.
Les dirigeants syndicaux, les travailleurs des secteurs public et privé, les partis politiques, des représentants du mouvement des étudiants et du grand public ont assisté à cette marche, pour dire "Non à la criminalisation du droit constitutionnel d'exprimer des opinions divergentes", a expliqué Jesus Montilla, étudiant à l'Universidad Politecnica Nacional Experimental.
"L'avenir de notre pays est de notre responsabilité, nous ne pouvons pas accepter que l'on continue à censurer et intimider les étudiants, parce qu'ils exigent des ressources pour une éducation décente. Chaque fois qu'ils descendent dans la rue pour défendre la démocratie et la liberté, sont désignés comme étant des 'golpistes' " a fortement exposés Maria Ines Suarez, qui se décrit comme une citoyenne en lutte pour la libération du Venezuela.
"Plus de Chávez, oui à la liberté" était le slogan des manifestants tout au long de la marche, tandis que les trompettes, encourageaient la manifestation pacifique, chaque fois que les fonctionnaires de Poli-Lara ont assuré la sécurité pendant le marche ayant commencé à la "Casa del Maestro" et ayant abouti à la Plaza Macario Yepez face à l'université "Centroccidental Lisandro Alvarado".
Le syndicat des journalistes était présent et a déclaré que "la nation appelle à une meilleure conduite du Gouvernement National".
Source : El Universal
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire