
Marcharon los bomberos, los policías, los representantes de la salud, de la cultura, todos, el pueblo Hugo, ese al cual tu desconoces y desprecias.
Tu orden fue cumplida, toda la fuerza militar y policial contra el pueblo. Serás juzgado por muchos delitos, pero eso de poner al pueblo a pelear contra el pueblo será una de las razones para que seas condenado de por vida.
Allá en la Asamblea unos pocos gritando Uh Ah, chávez no se va! y maldiciendo a esos hermanos que marchaban por sus derechos, inaceptable miserable, no escuchas al pobre y te lo cobrarán tarde o temprano. Por cierto, dónde está el pueblo chavista?, no me digas que son esos 4 gatos rascados y tira piedras que estaban muertos de hambre pegados a las rejas gritando bolserías...eso es lo que te queda???..ay Dios...
Les trancaste todas las estaciones del Metro, pero la gente se fue caminando por las aceras, por la Av. Bolívar, por los callejones, pero nada, la asamblea antinacional estaba rodeada de Guardias Nacionales, no te da pena? cobarde!! y la cuerda de vagos y mantenidos allí defendiendo la anarquía y el caos, lo que te gusta malparido.
Esa gente estaba arrecha al ver las barandas, y la inmensa cantidad de uniformados..cuál es tu miedo?, le tienes miedo al pueblo?..pues hoy salió muy decentemente el pueblo mirandino, pero llegará la hora que salga el PUEBLO VENEZOLANO, con la decisión final, a quien no podrás parar ni con aviones ni tanques!
Ovario
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La force militaire contre les mirandiens

Étaient présents à cette marche ; les pompiers, les policiers, les représentants de la santé, de la culture, ils étaient tous là. Le peuple Hugo, ce peuple que tu ignores et méprises.
Ton ordre a été exécuté. Toute la force militaire et policière s'est exercé contre le peuple. Tu seras jugé pour de nombreux délits, mais l'une des raisons pour laquelle tu seras condamné à vie, sera pour avoir incité le peuple, à se battre contre le peuple.
Là-bas dans l'Assemblée certains en crient ; Uh, Ah, Chávez ne part pas! Ils maudissent ces frères, qui marchent pour leurs droits. Inacceptable, misérable! Tu n'écoutes pas les pauvres et, tôt ou tard ils te le feront payer. Mais ou est donc le peuple chavista ? Ne me dis pas que ce sont ces trois pelés et ce tondu, jeteurs de pierres, morts de faim, collés aux grilles et criant "mort aux opposants". C'est ce qui te reste ? Mon Dieu.
Tu leur as fermé toutes les stations du métro, mais les gens sont partis ; par les trottoirs, par l'Avenue Bolivar, par les ruelles. Mais, l'assemblée antinationale était entourée des Gardes Nationaux. Cela ne te fait-il pas de la peine ? Lâche! Le cordon de feignants et d'assistés qui étaient là, défendant l'anarchie et le chaos, ce qui te plaît.
Ces gens étaient furieux de voir les barrières et l'énorme quantité d'uniforme. Quelle est ta peur ? As-tu peur du peuple ? Aujourd'hui le peuple mirandien est sorti très convenablement, mais bientôt viendra l'heure à laquelle sortira le PEUPLE VÉNÉZUÉLIEN et, à ce moment là, tu ne pourras l'arrêter ni avec des avions, pas plus qu'avec des tanks!
Ovario
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